dupouvoir et L’Art de la séduction (Édi-tions Alisio). Des extraits, des vidéos, des interviews de Robert Greene sur son site : Déclarez la guerre à vos ennemis 2 N’ayez jamais une guerre de retard Au c3 oeur de la tempête, gardez la tête froide 4 Créez un sentiment d’urgence et de désespoir
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Danscette traduction accompagnée de commentaires, J. Lévi poursuit un double objectif : littéraire, rendre la concision et la force de l'édition origin
Pourl'épreuve orale de fin d'année, vous aurez à travailler une oeuvre de façon approfondie (vue ou non en cours) : afin de l'analyser, vous remplirez un petit dossier. La thématique retenue cette année est l'engagement. Pour réfléchir et chercher des idées, voilà quelques exemples d'oeuvres ou d'artistes engagés :
Fonds14-18, extrait de la base Mémoire concernant la Première Guerre mondiale. Attention : les photos géolocalisées le sont pour le moment au niveau du code INSEE de la commune. Ces photographies ont été réalisées à des fins de propagande et de documentation par les services français --notamment la Section photographique et cinématographique des
Orientation: "L’art de la guerre" par Sun Zi est historiquement le premier traité de stratégie au monde, rédigé aux alentours du Vè siècle avant J.-C. (il fut traduit en 1772 par le père J.-J. Amiot, jésuite). On ne sait rien de son auteur, Sun Zi, si ce n'est que son oeuvre fut très vite considérée en Asie comme une référence.
isu4rna. 17 décembre 2012 1 17 /12 /décembre /2012 1948 Pages 509 - 510 - 511 et 512 Salagnon toujours en descendant retenait sa respiration, puis en bas respirait avec un haut-le-coeur et s'habituait. Les mauvaises odeurs ne durent jamais, juste quelques inspirations, on ne sent pas ce qui dure. Des bruits confus passaient les portes fermées, résonnaient sous les voûtes, s'emmêlaient en un vacarme de hall de gare comprimé dans le volume d'une cave. On avait conservé du vin ici, ils avaient vidé ce qui restait, installé l'électricité, pendu des ampoules nues aux voûtes, avaient descendu avec peine des tables métalliques et des baignoires par l'étroit escalier. Les parachutistes qui restaient là avaient l'uniforme sale, la vareuse ouverte jusqu'au ventre, le pantalon et les manches trempés. Ils passaient dans le couloir en refermant toujours soigneusement la porte, ils avaient les traits tirés et les yeux comme sortis de la tête, avec des pupilles ouvertes qui faisaient peur comme une bouche de puits. Trambassac ne voulait pas les voir comme ça. Il exigeait que ses hommes soient propres, rasés, plein d'allant ; un paquet de lessive par tenue, conseillait-il, et devant lui on parlait clairement, on se déplaçait avec économie, on savait à chaque instant ce que l'on devait faire. A la presse il montrait ses hommes impeccables, souples et dangereux, dont l'oeil voyait tout, radiographiait Alger, débusquait l'ennemi derrière les visages, le traquait à travers les labyrinthes du corps. Mais certains restaient pendant des jours à errer dans les carceri qui s'enfonçaient sous la villa mauresque, et ils faisaient peur, même aux officiers parachutistes qui restaient à la surface, qui faisaient tourner la noria de Jeep, appréhendant les suspects, remplissant le grand tableau synoptique. Ceux-là , on ne les montrait pas à Trambassac ; et il ne demandait pas à les voir. Certains que l'on amenait ici menottés, traînés et poussés par des parachutistes armés, se liquéfiaient rien qu'à sentir l'odeur humide de la cave, rien qu'à se refléter dans le regard des lémures qu'ils croisaient dans le couloir, couverts d'une sueur grasse, l'uniforme ouvert, trempés sur le devant. D'autres relevaient la tête, et on refermait soigneusement la porte derrière eux. Ils se retrouvaient à quelques-uns dans une petite cave, sous l'ampoule nue, un officier à carnet qui posait des questions, très peu de questions, et deux ou trois autres, sales et peu bavards, aux allures de mécaniciens auto fatigués. Le brouhaha du sous-sol entrecoupé de cris ruisselait le long des murs, au milieu de la petite cave étaient des outils, une bassine, du matériel de transmission, une baignoire pleine dont la présence pouvait surprendre. L'eau qui remplissait la baignoire n'était plus de l'eau, c'était un liquide mêlé, qui luisait salement sous l'ampoule nue pendue à la voûte. Cela commençait. On posait des questions. Cela se passait en français. Ceux que l'on remontait, parfois on devait les porter. Ceux-là on ne les rendait pas. Quand Salagnon remontait avec le carnet où l'on notait des noms, il se disait très confusément que s'ils allaient assez vite pour prendre ceux qui fabriquaient des bombes, prendre ceux qui les posaient, une bombe peut-être n'exploserait pas dans un bus. Ils se disaient tous à peu près la même chose, sauf les lémures du sous-sol dont plus personne ne savait ce qu'ils pensaient quand ils répétaient inlassablement les mêmes questions à des noyés qui ne répondaient pas car ils crachaient de l'eau, à des électrocutés dont les mâchoires tétanisées ne laissaient plus passer aucun son. Trambassac s'expliquait à la presse avec beaucoup de clarté. "Nous devons agir, vite, et sans états d'âme. Quand on vous amène quelqu'un qui vient de poser vingt bombes qui peuvent exploser d'un moment à l'autre et qu'il ne veut pas parler, quand il ne veut pas dire où il les a mises, et quand elles vont exploser, il faut employer des moyens exceptionnels pour l'y contraindre. Si nous prenons le terroriste dont nous savons qu'il a caché une bombe et que nous l'interrogeons vite, nous éviterons de nouvelles victimes. Nous devons obtenir très vite ces renseignements. Par tous les moyens. C'est celui qui s'y refuse qui est le criminel, car il a sur les mains le sang de dizaines de victimes dont la mort aurait pu être évitée." Vu comme ça, c'est impeccable. Le raisonnement est sans faille, on peut le répéter. Les raisonnements sont toujours sans failles car ils sont construits ainsi, sauf par des maladroits. La raison a raison, car c'est son principe. En effet, quand on attrape un terroriste dont on sait qu'il a posé des bombes, il convient de le presser de questions. Presser, compresser, oppresser, pressurer, peu importe. Il faut que ça aille vite. Vu comme ça, c'est imparable. Sauf qu'ils ne prirent jamais personne dont ils savaient qu'il avait posé vingt bombes. Ils arrêtèrent vingt-quatre mille personnes et d'aucun ils ne savaient ce qu'il venait de faire. Ils les emportaient dans la villa mauresque et ils le leur demandaient. Ce que ces personnes avaient fait, c'est l'interrogatoire qui l'établissait. Trambassac prétendait à qui voulait l'entendre qu'ils arrêtaient des coupables et les interrogeaient non pas pour établir leur culpabilité mais pour limiter leurs méfaits. Or ils n'arrêtaient pas des coupables ils les construisaient, par l'arrestation et l'interrogatoire. Certains l'étaient auparavant, par hasard, d'autres non. Beaucoup disparaissaient, coupables ou pas. Ils lancèrent des filets et attrapèrent tous les poissons. Point n'était besoin de connaître le coupable pour agir. Il suffisait d'un nom, et ils s'occupaient de tout. Ce jour-là Trambassac eut du génie. Ce qu'il dit à la presse qui lui posait des questions, la raison qu'il donna de ce qui se passait dans la villa mauresque, on le répétera durant un demi-siècle plus ou moins sous la même forme, c'est la marque des grandes créations littéraires que de marquer les esprits, d'être régulièrement citées, légèrement déformées sans que l'on ne sache plus qui pour la première fois les écrivit - en l'occurrence c'est Josselin de Trambassac. Published by alexlechti - dans Alexis JENNI
Vu du Front. Représenter la Grande Guerre extraitPublished on Sep 11, 2014Exposition présentée à la Bibliothèque de documentation internationale contemporaine BDIC, musée de l’Armée, Paris, du 15 octobre 2014 au 25 janvie... Somogy éditions d'Art
L'horreur dans les rues de Boutcha, la maternité de Marioupol bombardée, ou encore les familles fuyant les combats à Irpin. Autant de symboles de ces sis mois de guerre. Elle devait être éclair, mais elle est devenue une guerre d'usure alors que Kiev résiste toujours. Des militaires ukrainiens sont épaulés par des millions de civils. Des livraisons d'armes étrangères en provenance de la France ont été effectuées. Malgré tout, depuis février 2022, la Russie a pris le contrôle de 20 % du pays. Dans ces zones occupées, les frappes se poursuivent notamment à Donetsk. Cette guerre sanglante est aussi une guerre de communication. L'Ukraine dit avoir perdu 9 000 soldats. En réalité, ils seraient 15 000 environ selon les estimations indépendantes. Du côté des Russes, il n'y a pas de chiffres officiels. Ils seraient entre 20 000 et 30 000. TF1 Reportage E. Lefebvre, T. Misrachi, J. Garro
» … Lui, notre colonel, savait peut-être pourquoi ces deux gens-là tiraient, les Allemands aussi peut-être qu’ils savaient, mais moi, vraiment, je savais pas. Aussi loin que je cherchais dans ma mémoire, je ne leur avais rien fait aux Allemands. J’avais toujours été bien aimable et bien poli avec eux. Je les connaissais un peu les Alle-mands, j’avais même été à l’école chez eux, étant petit, aux environs de Hanovre. J’avais parlé leur langue. C’était alors une masse de petits crétins gueulards avec des yeux pâles et furtifs comme ceux des loups ; on allait toucher ensemble les filles après l’école dans les bois d’alentour, où on tirait aussi à l’arbalète et au pistolet qu’on achetait même quatre marks. On buvait de la bière sucrée. Mais de là à nous tirer maintenant dans le coffret, sans même venir nous parler d’abord et en plein milieu de la route, il y avait de la marge et même un abîme. Trop de guerre en somme c’était tout ce qu’on ne comprenait pas. Ça ne pouvait pas s’était donc passé dans ces gens-là quelque chose d’extraordinaire ? Que je ne ressentais, moi, pas du tout. J’avais pas dû m’en apercevoir…Mes sentiments toujours n’avaient pas changé à leur égard. J’avais comme envie malgré tout d’essayer de comprendre leur brutalité, mais plus encore j’avais envie de m’en aller, énormément, absolument, tellement tout cela m’apparaissait soudain comme l’effet d’une formidable erreur. Dans une histoire pareille, il n’y a rien à faire, il n’y a qu’à foutre le camp », que je me disais, après tout…Au-dessus de nos têtes, à deux millimètres, à un millimètre peut-être des tempes, venaient vibrer l’un derrière l’autre ces longs fils d’acier tentants que tracent les balles qui veulent vous tuer, dans l’air chaud d’ je ne m’étais senti aussi inutile parmi toutes ces balles et les lumières de ce soleil. Une immense, universelle n’avais que vingt ans d’âge à ce moment-là . Fermes désertes au loin, des églises vides et ouvertes, comme si les paysans étaient partis de ces hameaux pour la journée, tous, pour une fête à l’autre bout du canton, et qu’ils nous eussent laissé en confiance tout ce qu’ils possédaient, leur campagne, les charrettes, brancards en l’air, leurs champs, leurs enclos, la route, les arbres et même les vaches, un chien avec sa chaîne, tout quoi. Pour qu’on se trouve bien tranquilles à faire ce qu’on voudrait pendant leur absence. Ça avait l’air gentil de leur part. Tout de même, s’ils n’étaient pas ailleurs ! — que je me disais — s’il y avait encore eu du monde par ici, on ne se serait sûrement pas conduits de cette ignoble façon ! Aussi mal ! On aurait pas osé devant eux ! Mais, il n’y avait plus personne pour nous surveiller ! Plus que nous, comme des mariés qui font des cochonneries quand tout le monde est paru. »Je me pensais aussi derrière un arbre que j’aurais bien voulu le voir ici moi, le Déroulède dont on m’avait tant parlé, m’expliquer comment qu’il faisait, lui, quand il prenait une balle en plein Allemands accroupis sur la route, têtus et tirail leurs, tiraient mal, mais ils semblaient avoir des balles à en revendre, des pleins magasins sans doute. La guerre décidément, n’était pas terminée ! Notre colonel, il faut dire ce qui est, manifestait une bravoure stupéfiante ! Il se promenait au beau milieu de la chaussée et puis de long en large parmi les trajectoires aussi simplement que s’il avait attendu un ami sur le quai de la gare, un peu im atient d’abord la campagne, faut que je le dise tout de suite, j’ai jamais pu la sentir, je l’ai toujours trouvée triste, avec ses bourbiers qui n’en finissent pas, ses maisons où les gens n’y sont jamais et ses chemins qui ne vont nulle part. Mais quand on y ajoute la guerre en plus, c’est à pas y tenir. Le vent s’était levé, brutal, de chaque côté des talus, les peupliers mêlaient leurs rafales de feuilles aux petits bruits secs qui venaient de là -bas sur nous. Ces soldats inconnus nous rataient sans cesse, mais tout en nous entourant de mille morts, on s’en trouvait comme habillés. Je n’osais plus remuer....Serais-je donc le seul lâche sur la terre ? pensais-je. Et avec quel effroi !… Perdu parmi deux millions de fous héroïques et déchaînés et armés jusqu’aux cheveux ? Avec casques, sans casques, sans chevaux, sur motos, hurlants, en autos, sifflants, tirailleurs, comploteurs, volants, à genoux, creusant, se défilant, caracolant dans les sentiers, pétaradant, enfermés sur la terre, comme dans un cabanon, pour y tout détruire, Allemagne, France et Continents, tout ce qui respire, détruire, plus enragés que les chiens, adorant leur rage ce que les chiens ne font pas, cent, mille fois plus enragés que mille chiens et tellement plus vicieux ! Nous étions jolis ! Décidé ment, je le concevais, je m’étais embarqué dans une croi sade est puceau de l’Horreur comme on l’est de la volupté. Comment aurais-je pu me douter moi de cette horreur en quittant la place Clichy ? Qui aurait pu prévoir avant d’entrer vraiment dans la guerre, tout ce que contenait la sale âme héroïque et fainéante des hommes ?À présent, j’étais pris dans cette fuite en masse, vers le meurtre en commun, vers le feu… Ça venait des profondeurs et c’était colonel ne bronchait toujours pas, je le regardais recevoir, sur le talus, des petites lettres du général qu’il déchirait ensuite menu, les ayant lues sans hâte, entre les balles. Dans aucune d’elles, il n’y avait donc l’ordre d’arrêter net cette abomination ? On ne lui disait donc pas d’en haut qu’il y avait méprise ? Abominable erreur ? Maldonne ? Qu’on s’était trompé ? Que c’était des manoeuvres pour rire qu’on avait voulu faire, et pas des assassinats ! Mais non ! Continuez, colonel, vous êtes dans la bonne voie ! » Voilà sans doute ce que lui écrivait le général des Entrayes, de la division, notre chef à tous, dont il recevait une enveloppe chaque cinq minutes, par un agent de la liaison, que la peur rendait chaque fois un peu plus vert et foireux. J’en aurais fait mon frère peu reux de ce garçon-là ! Mais on n’avait pas le temps de fraterniser non pas d’erreur? Ce qu’on faisait à se tirer dessus, comme ça, sans même se voir, n’était pas défendu ! Cela faisait partie des choses qu’on peut faire sans mériter une bonne engueulade. C’était même reconnu, encouragé sans doute par les gens sérieux, comme le tirage au sort, les fiançailles, la chasse à courre !… Rien à dire. Je venais de découvrir d’un coup la guerre tout entière. J’étais dépucelé. Faut être à peu près seul devant elle comme je l’étais à ce moment-là pour bien la voir la vache, en face et de profil. On venait d’allumer la guerre entre nous et ceux d’en face, et à présent ça brûlait ! Comme le courant entre les deux charbons, dans la lampe à arc. Et il n’était pas près de s’éteindre le charbon ! On y passerait tous, le colonel comme les autres, tout mariole qu’il semblait être et sa carne ne ferait pas plus de rôti que la mienne quand le courant d’en face lui passerait entre les deux y a bien des façons d’être condamné à mort. Ah ! combien n’aurais-je pas donné à ce moment-là pour être en prison au lieu d’être ici, moi crétin ! Pour avoir, par exemple, quand c’était si facile, prévoyant, volé quelque chose, quelque part, quand il en était temps encore. On ne pense à rien ! De la prison, on en sort vivant, pas de la guerre. Tout le reste, c’est des seulement j’avais encore eu le temps, mais je ne l’avais plus ! Il n’y avait plus rien à voler ! Comme il ferait bon dans une petite prison pépère, que je me disais, où les balles ne passent pas ! Ne passent jamais ! J’en connaissais une toute prête, au soleil, au chaud! Dans un rêve, celle de Saint-Germain précisément, si proche de la forêt, je la connaissais bien, je passais sou vent par là , autrefois. Comme on change ! J’étais un enfant alors, elle me faisait peur la prison. C’est que je ne connaissais pas encore les hommes. Je ne croirai plus jamais à ce qu’ils disent, à ce qu’ils pensent. C’est des hommes et d’eux seulement qu’il faut avoir peur, de temps faudrait-il qu’il dure leur délire, pour qu’ils s’arrêtent épuisés, enfin, ces monstres ? Combien de temps un accès comme celui-ci peut-il bien durer ? Des mois ? Des années ? Combien . Peut-être jusqu’à la mort de tout le monde, de tous les fous ? Jusqu’au dernier ? Et puisque les événements prenaient ce tour désespéré je me décidais à risquer le tout pour le tout, à tenter la dernière démarche, la suprême, essayer, moi, tout seul, d’arrêter la guerre ! Au moins dans ce coin-là où j’étais. ... "
News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse Streaming VOD Blu-Ray, DVD Spectateurs 2,2 655 notes dont 55 critiques noter de voirRédiger ma critique Synopsis Neil Shaw est un agent spécial, inconnu des services de renseignement américains, qui n’obéit qu'au secrétaire général des Nations unies par l’intermédiaire de sa collaboratrice Eleanor Hooks. Se remettant d'une périlleuse mission à Hong Kong, Shaw se voit confier un travail apparemment simple mettre sur écoute l'ambassadeur de Chine à New York lors d'un sommet commercial. Mais celui-ci est assassiné et Shaw arrêté. Libéré par les triades chinoises, qui tentent ensuite de l’éliminer, il s’évade. Recherché par le FBI, il doit faire cavalier seul. Regarder ce film En SVOD / Streaming par abonnement Amazon Prime VideoAbonnement Voir toutes les offres de streaming L'Art de la guerre DVD Voir toutes les offres DVD BLU-RAY Bande-annonce 219 219 Interview, making-of et extrait 735 Acteurs et actrices Casting complet et équipe technique Critiques Presse Urbuz Chronic' L'Express Le Figaro Magazine Le Parisien Positif Ciné Live L'Obs Le Monde Les Inrockuptibles Studio Magazine Télérama Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus. 13 articles de presse Critiques Spectateurs Lamentable et pitoyable. Sun Tzu doit se retourner dans sa le titre d'une oeuvre philosophique à une daube, fallait bourrin Christian Duguay l'a fait. Un de ses plus mauvais Snipes est risible. Je gardais de ce film un assez bon souvenir. En le revoyant j'ai vu une série B plutôt décevante au scénario touffu et improbable, et à la mise en scène tout juste passable. Après une très bonne scène d'introduction et une succession de scène de combats assez bien rythmée bien que peu marquante. Le film et notemment l'histoire n'avance pas du tout. Bref on est à la limite de l'ennuye, heureusement que wesley snipes a un certains charisme à l'écran et des dialogues assez comique car sinon on serait vraiment au ras des pâquerettes. Un film qui m'a extrêmement déçu au vue du casting 5 étoiles. Un film avec de l'action mais avec une histoire complètement invraisemblable et de la violence gratuite d'un bout à l'autre. 55 Critiques Spectateurs Photos 13 Photos Secrets de tournage Christian Duguay, réalisateur Réalisateur de télévision réputé, le Canadien Christian Duguay a réalisé pour le cinéma Scanners II 1991, Scanners III 1992, et a connu le succès avec Planète hurlante 1995. Il a également signé Contrat sur un terroriste 1997, dans lequel apparaissait déjà Donald Sutherland. James Hong Ambassadeur Wu Né aux Etats-Unis, James Hong a débuté sa carrière chez William A. Wellman, Edward Dmytrik, avant de jouer sous la direction de Robert Wise La canonnière du Yang-Tsé, Roman Polanski Chinatown, et John Carpenter Les aventures de Jack Burton dans les griffes du mandarin. La filmographie de cet acteur sino-américain dépasse les cent titres, dont La veuve noire Bob Rafelson, 1986, Tango & Cash Andrej Konchalovsky, 1989, Wayne's World 2 Lire plus La mise en scène selon Christian Duguay Soucieux de contrôler totalement son film, Duguay cadre lui-même les plans qu'il filme. Je trouve très difficile de travailler autrement, et je pense qu'on perd quelque chose d'essentiel à ne regarder que le moniteur. J'aime manier moi-même la caméra, travailler un symbiose avec l'acteur et savoir que le spectateur verra plus tard tout ce que je vois à ce instant précis. » 6 Secrets de tournage Infos techniques Nationalités Canada, Distributeur - Année de production 2000 Date de sortie DVD 26/12/2000 Date de sortie Blu-ray - Date de sortie VOD - Type de film Long-métrage Secrets de tournage 6 anecdotes Budget 40 000 000 $ Langues Anglais, Allemand Format production - Couleur Couleur Format audio - Format de projection - N° de Visa - Si vous aimez ce film, vous pourriez aimer ... Commentaires
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